Car ce que j’ai-
me c’est
l’œuvre de la
nature
dans l’être même
et l’autre
me c’est
l’œuvre de la
nature
dans l’être même
et l’autre
Empreintes dans le sable, et vacuité d’un trône. La dou- ble orfèvrerie d’un miroir métallique
Bientôt, le foudroiement d’un fauve qui s’apprête… ce brusque silence blotti près des grands arbres… une ombre féline
un grain de riz... et
peut-être
peut-être
Henri Rousseau Le lion ayant faim se jette sur l'antilope (1898-1905) |
Grand Cahier.594.Dispersion.025.Envols au jardin.11